Une excursion, d'après le dictionnaire, est un voyage d'agrément ou d'étude dans une région.
Le déplacement peut-être physique ou mental. Pour certains, cela signifie se laisser conduire au hasard, pour d’autres, c’est cheminer vers un but précis.
Mais pour tout le monde, il s’agit toujours de voir et de ressentir.
Lors de ma première venue au Centre Hospitalier Saint Joseph Saint Luc, je fus d’abord frappé par les jeux entre architecture et végétal. J’ai découvert les décalages de niveaux et les points de vue variés, les associations entre l’intérieur et l’extérieur, les vides et les retraits - le plus étonnant étant peut-être la douve séparant le hall d’entrée de la rue, franchie par une passerelle suspendue.
C'est sur la base de ces premières observations que j'ai commencé à construire mes pièces, qui ont toutes été pensées et réalisées spécialement pour cette exposition.
Arrivé en « terrain hospitalier », je me suis d’abord intéressé à l'étymologie du mot « hôpital » : « hospitalité ». Je me suis dit que je pourrais planter ma tente, pour quelques nuits, dans l'Atrium.
Je ne l'ai pas fait…
Néanmoins, si bivouaquer au Centre Hospitalier sous une tente n'était pas une solution envisageable, il était possible de s'y promener, le bâtiment étant vaste et les ambiances variées. De plus, le quartier qui l’accueille ouvre sur un ballet incessant de voitures, de trams, de bateaux, de vélos, de piétons et de trottinettes. Toutes ces personnes transitent d'un endroit à un autre, longeant la façade de l’établissement.
Ces spécificités m'ont orienté vers un axe de travail inhérent à l'idée de circulation et de déplacement, qui prend corps avec Oscillations électro-pédestres.
Randonner et bivouaquer, c'est aussi prendre des moments de pause et d'observation, d'interprétation et d'associations : Hexarama nous en propose une synthèse. Mais c'est aussi se retrouver, parfois en terrain hostile, face à des formes étranges nées de la nature ou de la main de l’homme, comme Idylle au brise-vue.
Le déplacement peut-être physique ou mental. Pour certains, cela signifie se laisser conduire au hasard, pour d’autres, c’est cheminer vers un but précis.
Mais pour tout le monde, il s’agit toujours de voir et de ressentir.
Lors de ma première venue au Centre Hospitalier Saint Joseph Saint Luc, je fus d’abord frappé par les jeux entre architecture et végétal. J’ai découvert les décalages de niveaux et les points de vue variés, les associations entre l’intérieur et l’extérieur, les vides et les retraits - le plus étonnant étant peut-être la douve séparant le hall d’entrée de la rue, franchie par une passerelle suspendue.
C'est sur la base de ces premières observations que j'ai commencé à construire mes pièces, qui ont toutes été pensées et réalisées spécialement pour cette exposition.
Arrivé en « terrain hospitalier », je me suis d’abord intéressé à l'étymologie du mot « hôpital » : « hospitalité ». Je me suis dit que je pourrais planter ma tente, pour quelques nuits, dans l'Atrium.
Je ne l'ai pas fait…
Néanmoins, si bivouaquer au Centre Hospitalier sous une tente n'était pas une solution envisageable, il était possible de s'y promener, le bâtiment étant vaste et les ambiances variées. De plus, le quartier qui l’accueille ouvre sur un ballet incessant de voitures, de trams, de bateaux, de vélos, de piétons et de trottinettes. Toutes ces personnes transitent d'un endroit à un autre, longeant la façade de l’établissement.
Ces spécificités m'ont orienté vers un axe de travail inhérent à l'idée de circulation et de déplacement, qui prend corps avec Oscillations électro-pédestres.
Randonner et bivouaquer, c'est aussi prendre des moments de pause et d'observation, d'interprétation et d'associations : Hexarama nous en propose une synthèse. Mais c'est aussi se retrouver, parfois en terrain hostile, face à des formes étranges nées de la nature ou de la main de l’homme, comme Idylle au brise-vue.
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