14 nov. 2007

sans titre (projet en cours)

Projet en cours de réalisation

11 oct. 2007

65700

Travail issu d'un workshop, rassemblant les anagrammes du titre et présenté lors de l'exposition "Rosemary's place" de Gregory Niel et Laetitia Delafontaine, recomposant une texture par la mise en gras des termes relevant les notions d'espaces, les conditions psychologiques et situations psychiques de Rosemary, dans le film "Rosemary's baby" de Roman Polanski. Le format 120x80 est donné par les normes d'affichages des publicités dans l'espace public.

30 sept. 2007

bureaux nomades (projet)

Etude d'anticipation idéaliste et ironique d'un ensemble de bureaux et salles de réunions transportables, emprise de science fiction des années 70 et ses relents kitchs, inspiré du "memex" décrit par le scientifique Vennevar Bush en 1945. Ce projet vise à nous interroger sur l'idée actuelle du nomadisme engendrée par tous les équipements de travail et de loisir accessibles aux masses. Conception du nomadisme notamment induite par l'architecture des yourtes et des igloos. Il s'agit de structures gonflables autonomes dont les possibilités d'organisation et d'agencement sont variées.

n(20x5)(20x5)

Plaques de 1 m2 permettant de constituer un sol non plan suivant diverses combinaisons d'assemblage. Mise en jeu du corps du spectateur, et de jeux optiques. Réalisation cheap et économe, mais permettant de transfigurer l'architecture d'espaces déjà existants: maquette papier et réalisation de la pièce en tubes de carton épais sur lesquels on peut marcher. Ici encore à l'état de projet, devrait évoluer vers un futur projet d'installation et dans des matériaux légers et économes s'apparentant plus à des matériaux de construction. Des critères formels comme le type de structure alvéolaire permettraient d'ouvrir un champ des possibles d'utilisation plus étendus, notamment au niveau de l'acoustique et d' une esthetique proche de l'imagerie de synthèse.

24 sept. 2007

(90)20(90)

Pièce construite à partir des standards anthropométriques normés utilisés en architecture d'intérieur, les composants sont assemblés à la manière d'une maquette, des structures d'acier matérialisent les minima anthropomorphes nécessaires à une utilisation ergonomique du mobilier. ces mêmes structures visent à transposer le trait de l'architecte dans l'espace. Si toutes les conditions paraissent ainsi réunies pour une utilisation "normale" du mobilier, techniques d'assemblages et apposition matérielle de ces structures, limitent les possibles d'utilisation reléguant alors l'objet au stade de maquette à l'échelle1. Medium et acier noir vernis.

1_14+49+86+39+17

Vidéo plan séquence de 5 minutes dont le cadrage est construit par l'architecture du lieu, afin de dégager le côté théâtral de ces circulations urbaines, avec ses entrées et sorties d'acteurs. Chaque personnage est décrit et nommé dans leur ordre chronologique d'apparition dans un générique de fin suivant des détails permettant de les identifier. les noms attribués sont ceux des habitants du quartier où se déroule la scène. Aucun montage n'est effectué, il s'agit d'un simple cut opéré dans le réel et ses hasards.

Walk

Lecture enregistrée de tous les mots environnants lus au cours d'une marche d'une quinzaine de km, le spectateur participe à cette marche à l'échelle des mots (les deux hauts parleurs qui diffusent la bande audio sont reliés par deux fils mesurant les 31m50 de leur écriture manuscrite). L'environnement verbal ainsi diffusé est une sorte de relevé sociologique des sites traversés au travers de critères économiques et sociaux: entreprises, noms de rues, commerces, emballages abandonnés, publicités... ceci recompose alors une sémantique propre à chaque lieu traversé par laquelle on reconnait leur caractère et leur situation géographique: centre ville, périphérie, bord de mer...etc.

Shammer

Shammer se situe dans la succession de brèves manifestations du dispositif, lorsque le spectateur pénètre dans l'espace d'exposition, il déclenche la projection de deux silhouettes de personnes assises sur une grande toile tendue du sol au plafond, tous les éléments du dispositif sont dissimulés dans le lieu, la projection est de courte durée (quelques secondes), afin que celle-ci prenne fin avant l'arrivée du spectateur devant l'écran, ceci amène alors le spectateur à se demander si c'est lui ou non qui agit sur cette manifestation visuelle ou l'inverse.

12 sept. 2007

Etage fictif ( projet )

Ce projet consistait à utiliser les mêmes techniques picturales et d'éclairage que dans "Faces of city", mais en employant un système de détecteur de mouvement comme dans le projet "Parcours". Ainsi, le spectateur voulant observer la fresque de près, est obligé de rester immobile après avoir franchi la porte de la salle, il devient alors pour les autres visiteurs un objet constitutif de la pièce.

Parcours (projet)

Ce projet propose au spectateur d'intervenir sur l'ambiance lumineuse de la pièce dans laquelle il se trouve, et ce, uniquement par le biais de son déplacement, en respectant le schéma de déambulation donné par la hiérarchie de capteurs devant lesquels il passe. Ici le spectateur est acteur de sa situation physique, psychique et sensorielle au sein du système. Le fait de proposer un parcours donné vise à amoindrir le côté intuitif d'appréhension de l'espace tout en perturbant par la forte intensité lumineuse, la perception volumétrique et architecturale de la salle.

Faces of city

Reproduction à l'échelle 1 d'une douzaine de piétons croisés en ville photographiés aléatoirement, puis peints. Ces figures apparaissent puis disparaissent en de courts laps de temps, invisibles à la lumière blanche ils sont révèlés par de la lumière noire balayant l'espace, cette source lumineuse spécifique et son positionnement au centre de la salle d'exposition, permet d'inclure le spectateur dans le processus puisque son ombre portée inter-agit sur les conditions à la perception données par l'éclairage.

1.30_1.35

Deux temps, deux poses, deux images. Travail réalisé pour l'exposition "Lately Tings" faisant suite a un workshop avec Gerald Petit.

...

La ville, la nuit, panne de l'éclairage public, seule la lumière des enseignes des commerces impressione la pellicule. Créant cette scénographie particulière.

11 sept. 2007

१+1bis=3

Photos argentiques non retouchées, les modifications du paysage sont réalisées lors de la prise de vue। Le sujet et son double recomposent une troisième entité par le biais d'un simple jeu de miroir établissant la transformation de la notion d' échelle.